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Façon quoi le fuck?!?

L’immeuble juste à côté de chez moi, entre le restau japonais et la boutique yamaha en dessous de mon appart, est en train de cramer. Rien à voir avec Villiers-le-bel mais un incendie tout ce qu’il y a de plus classique.

C’est complètement fou les coïncidences: ça fait un mois que je dois apporter des photos à mon oncle et ma tante qui habitent de l’autre côté du parc Léon Blum, en face de chez moi. Ce soir j’ai failli encore une fois ne pas y aller et remettre ça à jeudi. Ensuite les premières fois où j’ai appelé ça sonnait occupé, du coup j’ai retardé mon départ de vingt minutes et j’ai mangé à la place. J’ai bougé à 19h50, et en rentrant à 20h20 un appartement du premier étage de l’immeuble était en feu. A 20 minutes près, où si je n’étais pas allée chez ma tante ce soir, j’aurais été dans mon appartement tranquilou. Et connaissant mon non-odorat… j’aurais sûrement été délogée par la police.

Les pompiers et les flics étaient sur place, mais ils ont mis vachement de temps avant de pouvoir commencer à arroser. D’après des voisins, le feu a démarré par « une toute petite flamme, au fond de l’appartement », et les gens ont mis du temps avant d’appeler du secours. Gros mystère sur l’évacuation: je ne sais toujours pas si l’immeuble en feu ou le mien ont été complètement évacués, il y avait au moins trois camions du SAMU/ SMUR sur place.

Autour de moi les gens prenaient des photos avec leurs portables ou leurs appareils numériques, ils téléphonaient. Certains avaient l’air complètement paniqué, d’autres semblaient franchement s’amuser. Toute la Route de la Reine était descendue sur le trottoir et les policiers se sont mis à refouler tout le monde assez loin.

Moi je savais pas quoi faire. J’ai pris des photos avec mon portable, j’ai regretté de ne pas avoir mon appareil numérique sur moi, je m’en suis voulu de regretter ça, j’ai appelé Luisa, j’ai appelé mes parents, j’ai appelé Cyril, les flics m’ont crié dessus, une femme du SAMU m’a dit de prendre mes dispositions pour dormir ailleurs au cas où, mes parents sont venus me chercher.

Depuis j’ai dix mille questions:

– Est-ce que j’aurais du rester, alors même qu’on nous éloignait de la scène et que donc je ne voyais plus grand chose?

– Est-ce que j’aurais du interviewer des voisins, savoir s’ils avaient des objets précieux à l’intérieur, si des voisins étaient resté coincés?

– Est-ce qu’on en entendra parler quelque part d’autre que sur ce blog s’il n’y a ni morts ni blessés?

– Est-ce que mon appartement est en train de brûler?

Je fais la liste de tout ce qui me passe par la tête: mon passeport, ma carte d’identité (impossible d’aller à l’Elysée sans ça, et je dois y aller demain matin avec Gamma!), mon ordinateur portable, mon appareil photo, mes souvenirs des Etats-Unis, mes papiers administratifs, les exemplaires des Nouvel Obs où j’ai écrit, les photos et les ptits mots des amis, et je bloque bloque bloque sur le reste de ce qu’il y a dans mon nouveau chez moi.

Edit:  23h29

On est passé voir où ça en était à Boulogne. Le feu a heureusement été éteint mais ça pue la fumée partout même moi je le sens ça pique les yeux. Les pompiers nous ont interdit d’ouvrir les fenêtres jusqu’à demain, et les appartements mitoyens à l’immeuble incendié sont examinés avec des trucs thermiques. Du coup je passe la nuit chez mes parents, ça pue trop et c’est glauque.

Vendredi dernier conversation 725/Newsroom

17:16 moi: mariiiiiiiiiiiiiiie

t pas en voix?

marie: nan pute

moi: pourquoi?

petasse?

marie: bah c’est fini et je m’en vais bientôt ert toi?

moi: mais je croyais que ça finissais à 18h

je suis en 724

17:17 je badde

marie: courage ma belle

moi: faut que jécrive un article et tout ce que je veux faire c rentrer

je suis découragée du journalisme la

marie: bientot le week end et les copain et les calins

moi je pense sérieusement à faire une école de cuisne

cuisine

moi: mmf

miam

ce matin je me suis dit

pourquoi je suis pas devenue patissière?

17:18 tu me diras au moins là je grossis pas à cause de ce que je fabrique

marie: moi j’ai uine fourcehtte autour du cou depuis 10 jours pour me sentir bien

moi: loool

LOLF même

on parle pas assez de l’effet cathartique de la fourchette

suite de la « conférence de presse » de Nicolas Beytout Jeudi matin. Nicolas et la presse!

Beytout et Les Echos:

« Les journalistes des Echos ont signé une clause de cession de 2ans, ça veut dire que pendant deux ans les journalistes ne vont pas pouvoir compter sur une équipe en place, puisque si l’un d’entre eux trouve un autre emploi il peut faire jouer la clause et se barrer. D’habitude c’est six mois une clause de cession (même si devant les prud’hommes, ça se défend jusqu’à 2ans) »

Beytout et le modèle français :

« On paye ce qui s’est passé les dernières 50 années: après la 2ème Guerre Mondiale, on dit « il faut préserver la diversité de la presse », du coup on met en place des règles législatives, comme la Loi Bichet, pour que quiconque voulant faire un journal puisse le faire, pour qu’il y ait des conditions d’égalité parfaite.

Exemple: je veux créer Plouc magasine, le magasine de référence des Ploucs, j’en tire 200 000 exemplaires et les kiosquiers sont obligés de le prendre. En plus ce n’est pas le kiosquier qui règle la quantité mais l’éditeur.

Du coup ça fait monter des petits journaux mais ça a aussi empêcher des grands journaux de s’imposer. Il y a d’autres modèles, celui là empêche de grands groupes de presse de se renforcer. On voulait faire beaucoup de journaux riches et indépendants aujourd’hui on en a peu, ils sont pauvres et dans les mains de grands groupes dont ce n’est pas le métier.  »

Beytout, la presse et les grands groupes:

« Quel est l’intérêt pour un groupe industriel d’investir dans la presse française si ce n’est pas pour avoir une plateforme médiatique? » (je n’ai pas bien compris là dessus: il est en train de dire que les grands groupes veulent une plateforme médiatique pour eux-mêmes, c’est à dire genre pour faire passer leurs messages, ou il est en train de dire que les grands groupes investissent dans la presse pour avoir une plateforme de différents médias, un groupe multimédia i.e presse écrite, télé, radio, etc? je penche pour la deuxième version)

En France on a cette idée que les journalistes doivent être propriétaires de leur journale, comme au Monde. On arrive à un système, où comme les journalistes élisent leur patron on a jamais un consensus pour celui qui a une politique salariale serrée mais pourrait investir, mais au contrair pour celui qui ne travaille pas pour le journal mais pour ceux qui y travaillent. »

Beytout et les blagues

« Bon, j’ai lu qu’en janvier on rachète TF1, en février on rachcète le Financial Times, et en mars on rachète le Figaro! Et bien sûr je dirige tout ça tout seul. »

Beytout, la presse écrite et la télévision:

« La qualité intellectuelle moyenne des équipes de journalistes à TF1 et à la télévision en général est plus réduite que dans la presse écrite » voyant que je prends activement des notes « Et ho, c’est off !!! » « oh bah non… » « bon ben prenez bien en note ce que je dis alors, ne déformez pas » si vous voyez une déformation dîtes moi, parce que j’ai arrêté de noter trente secondes quand il a dit c’est off!
« Ce que je veux dire, c’est que l’input intellectuel que vous mettez dans un journal écrit n’est pas le même que dans un journal télé, c’est logique, un journal télé entier c’est l’équivalent en texte d’une page du Figaro! »

Beytout et Etienne Mougeotte:

« Vous connaissez le proverbe Mon prédecesseur était un incapable mon successeur sera un intriguant! Mais bien sûr ce n’est pas du tout ce que je pense d’Etienne. C’est un très grand journaliste. Après son image, son indépendance, ce sera à lui de la démontrer tous les jours mais bon voilà.
Il y avait d’autres candidats pour le Figaro, Mougeotte est quand même quelqun d’ouvert, je veux dire, prenez des sujets au coeur du Figaro, comme l’homosexualité: la façon dont le Figaro a traité le PACS c’est d’un ringardisme incroyable! TF1 était beaucoup plus ouvert et tolérant là-dessus. C’est pas étonnant puisque suit l’audience et cherche le consensus, donc si la société évolue TF1 évolue ».

Un des intérêts d’être en école de journalisme, c’est qu’on est plus ou moins toujours au courant de l’actu. Un des intérêts d’être à l’école de journalisme de Sciences-Po c’est que la même semaine trois de nos profs peuvent se retrouver au coeur de l’actu:

Michèle Cotta était hier au Grand Journal pour la sortie de son livre « Carnets secrets de la Vème République », où, détail de fille, les maquilleurs ont eu la bonne idée de ne pas lui peindre les lèvres en marron foncé comme elle a l’habitude de faire.

Mais les profs de la semaine c’est bien sûr Etienne Mougeotte et Nicolas Beytout, pour leur rôle dans la grande pièce du moment: « Tournez manège chez LVMH ». Bon, Mougeotte a annulé sa conf de rédac d’hier matin donc on n’a pas pu le harceler de questions (Alors ça fait quoi de rester un mois au fig mag juste histoire de pouvoir aller au figaro?)

Par contre… Beytout était là jeudi, prêt à répondre à toutes nos questions/attaques

Transcription d’une conf de rédac devenue conf de presse:

Applaudissements à l’arrivée de Beytout, suivis de « quand même on vous l’avait demandé vous auriez pu nous le dire » haha blagues blagues tapes dans le dos petits sourires blah.

Jérôme « Ca vous fait quoi d’avoir été annoncé par Nicolas Sarkozy? »

Beytout: Ah lala… D’après ce que m’ont dit cinq ou six personnes qui étaient présentes, il y avait Catherine Pégard, la conseillère du Président, Franck Louvrier, le conseiller en communication du Président, et un dénommé N. Sarkozy… »

Elève : « Qui fait, lui? »
Autre élève : « Il fait des piges pour TF1! »

Beytout (sourire): Ah la la… En plus ça fait deux mois et demie que je ne lui parlais plus!

Elève : « Bah alors, c’est la rupture? » (on est des rigolos dans la classe)

Beytout: Non mais écoutez je le connais très bien Nicolas Sarkozy : il était ministre du budget, porte-parole du gouvernement et a même remplacé Carignon comme ministre de la communication. Ca faisait trois bonnes raisons de le connaître quand vous étiez rédacteur en chef des Echos.
Nicolas Sarkozy a même été mon salarié il y a 12 ans! Ben oui on est en 95 il y a les grosses divergences entre Chiraquiens et Balladuriens, Chirac est au pouvoir, et moi j’envisageais de faire une fiction sur la correspondance de Jacques Chirac arrivant à l’Elysée. J’ai dit a Sarkozy je veux que vous le fassiez, il a commencé par refuser avant d’accepter. Et donc il a écrit le feuilleton de l’été, donc j’ai corrigeais ses papiers, je lui faisais en rajouter parce que c’est toujours plus facile d’adoucir que de durcir le trait. Il a même fait le plus dure portrait de lui-même, pour préserver son anonymat.

Enfin pour revenir à notre histoire, ça a fait flambée de poudre. Je constate d’ailleurs que Libération a hier corrigé en disant « Sarkozy a rencontré des journalistes des Echos et à l’occasion d’une discussion sur la vente du journal a donné l’impression d’annoncer la venue de Nicolas Beytout… »

Il y a un véritable problème sur les nouveaux sites d’information, qui n’ont pas les mêmes règles de déontologie que les journaux installés (faisant ici référence je suppose à Rue 89)

Moi: « Oui fin c’était aussi sur le site du Nouvel Obs et c’est un journal installé »

Beytout: Oui, mais leur site est un véritable problème.
Ecoutez, le métier des journalistes c’est d’aller voir les sources. Le président est bien sûr une source donc c’est leur boulot, ils se sont dit qu’ils allaient parler de l’actualité avec le Président. Et à la place il leur dit ça. J’aurais préféré qu’il ne cite pas mon nom du tout mais bon.
Vous avez vu, que dans Le Monde, il y a une photo de moi à l’Elysée le 22 octobre. C’est une véritable manipulation de l’image puisqu’en légende ils marquent quelque chose du genre Nicolas Beytout à l’Elysée. Sans préciser que le 22 octobre c’était un jour de remise de décorations importantes, et qu’il y avait 200 personnes à l’Elysée.

Elève: pourquoi vous avez accepté le poste?

Beytout: Bon, je change de boulot, je vois ce qui arrive (= nous!) je préfère arrêter vous êtes trop forts! Non sérieusement, ça fait trente ans que je fais le même boulot. Là je retourne dans l’histoire de ma famille, et puis au journal j’avais de plus en plus de responsabilités managériales, et là en faisant ça ça ne m’empêchera pas de faire du journalisme. Pas en tant que directeur de la rédaction, mais du journalisme quand même.

Promis demain je poste Beytout.

En attendant….

Dites oui aux Daft Hands

Et oui aux Daft Bodies!

Perso je préfère les mains, même si j’avoue que le fait qu’aucune des deux ne se trompe dans la deuxième vidéo est assez impressionant.

Bon.

Ca fait deux jours que j’allume les lumières en arrivant à l’Ecole.

Aujourd’hui j’ai même du chercher les appariteurs pour qu’ils m’ouvrent la newsroom.

Blaaah.

Ah les articles de la semaine ! Je sais que Baptiste n’en peut plus d’attendre pour ses news people.

 Au menu, le « j’y étais » du concert des Dobacaracol dont j’avais parlé il y a quelque jours.

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Dobacaraquoi ?
Dobacaracol, un groupe qui vient tout droit du Québec nous faire oublier Céline Dion et Natasha Saint-Pierre.
Lundi 12 novembre, Doba (Doriane Fabreg) et Caracol (Carole Facal) ont squatté l’Elysée Montmartre avec leurs quatre musiciens.

Il est 20h, une cinquantaine de jeunes se sont tranquillement assis par terre dans la salle de spectacles. Quasiment que des filles, aux cheveux punks, tressés ou gentiment lissés.

Nous, on les avait découvertes il y a deux ans en première partie de Tryo.
Déjà, Doba et Caracol avaient séduit avec leurs chansons inclassables, entre reggae, ballade et musique world.
Depuis, les filles sont devenues des bêtes de scène : deux heures de concert, trois rappels et pas moins de six instruments maîtrisés chacune.

Les chansons sont plus poétiques les unes que les autres… Et on ne parle même pas des morceaux de sagesse dispensés à la foule en délire entre deux chansons, type «La vie c’est comme une galette. Si tu la retournes pas ça brûle.» ou «Chaque petit crocodile a sa mauvaise odeur.»

La suite c’est ici

Et un article sur le nouvel album de Britney Spears!

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Cela va maintenant faire trois ans que Britney n’est plus l’idole de l’Amérique, mais s’est doucement transformée en une enfant gâtée et inconsciente qui gêne… Formatée pour devenir une petite bombe, comme sa copine Christina Aguilera, Britney a fait sa crise d’adolescence.
Au point qu’on en oublie qu’à la base, Britney Spears est une superstar de la pop.

Mais musicalement, le disque se tient.
Beaucoup de beatboxing, un son bizarrement électro là où on l’attendait R&B et une touche de disco avec Heaven on Earth. Les chansons sont clairement destinées à passer en boîte ou à fond dans son Ipod pour se préparer avant de sortir.
La voix de Britney, toujours aussi sensuelle, est retouchée pour lui donner un son très métallique, qui monte parfois bien trop haut pour de futures performances live.

En même temps, même à l’époque où Britney se la jouait petite écolière, elle n’a jamais chanté autrement qu’en playback. Et vue sa pitoyable performance pendant les MTV Video Music Awards 2007, elle ferait peut-être mieux d’arrêter les shows «live».

Pour tout savoir de comment le dernier album de Britney et ben il est beaucoup mieux que ce que je pensais c’est là

Ceux qui ont Sophie Pedder en cours de presse écrite en anglais (elle est anglaise, c’est pour contrebalancer Robert Skippon) se souviendront de ses conseils sur comment faire une interview: ne pas hésiter à être insistant, à bousculer un peu, jusqu’à ce que l’interlocuteur réponde à la question.

L’exemple au panthéon journalistique c’est Jeremy Paxman présentateur de Newsnight sur la BBC avait posé 14 fois la même questions à Michael Howard en 1997.

Moins efficace, c’est une journaliste radio qui interviewe Françoise de Panafieu sur la grève et les régimes spéciaux, avant d’embrayer sur les régimes spéciaux des députés. Elle ne lâche pas l’affaire, mais n’aura pas de réponse.

Panafieu : prise au piege sur les regimes speciaux
envoyé par torapamavoa

sur dailymotion, j’ai pas encore tout compris à comment poster des vidéos qui ne sont pas sur youtube, donc allez jeter un oeil.

Ambiance. Pas très malin comme geste de communication de refuser toute conversation à partir de ce moment-là.

Ce matin en conf’ de rédac je me suis fait owned, busted, limite Punk’d par Alain Genestar. Sa fille lui a créé une alerte google news sur son nom et il est donc tombé sur ses name-droppings! Je me demandais aussi pourquoi le même jour 10 personnes étaient arrivées à mon blog en cherchant « Genestar ».

Heureusement, il a trouvé ça drôle, parce que comme le dit Ivan dans un joli message intitulé « Bonjour Alain », Alain Génestar est un homme de goût, qui a beaucoup de talent et énormément d’humour, en plus d’être très beau et de savoir faire du trapèze. Ou pas.

Dommage qu’on ne soit pas notés en conf’ de rédac. Blague.

Bonne chance pour Polka, le magazine et la gallerie!

Bon. ça fait un petit moment que je suis au courant mais j’ai occulté parce que ça me faisait trop de mal.
Mes rêves de voir se dérouler la campagne de Stephen Colbert se sont effondrés en même temps que ceux de le voir faire des blagues kikoulol à Sciences-Po.

Il avait décidé de ne se présenter que dans son Etat natal, la Caroline du Sud, sous l’étiquette démocrate (parce que c’était moins cher de poser sa candidature, 2500 dollars pour les Démocrates, 35000 dollars pour les Républicains!). Mais juste sa candidature a été rejetée par le Parti. Il a été noté, de façon très lucide, que si Colbert ne se lançait que dans son Etat, il avait peu de chances de gagner au niveau national…

Et Robert Skippon notre prof d’anglais américain nous a annoncé que non, ce ne serait pas Stephen Colbert qui viendrait à Sciences-Po papoter avec nous, mais, scoop Iwaslike, Carl Bernstein.
Mais si! Carl Bernstein, le journaliste du Washington Post qui avait avec Bob Woodward révélé les liens de Nixon avec l’affaire du Watergate!!! Beaucoup moins rigolo, mais beaucoup plus classe. J’ai hâte!